Le Château
de la Treyne
Le jardin à la Française
et sa forêt aux essences rares
Le jardin à la Française
et sa forêt aux essences rares
Son jardin à la Française, ponctué de vases Médicis conduisant à une belle roseraie. À la croisée des allées, un élégant bassin confère alors la fraîcheur qui sied à cet immense balcon naturel sur la Dordogne.
Le Château de la Treyne est entouré d’une forêt privative de 120 hectares, aux essences de chênes pubescents, typiques des causses du Quercy, de chênes truffiers, de charmes et de buis.
De nombreux chemins permettent d’effectuer d’agréables randonnées pédestres.
Notre fidèle Labrador Java vous accompagnera peut-être dans vos promenades. Pour les amateurs de jogging, l’ancien chemin du facteur, taillé dans le rocher, offre de belles vues sur la Dordogne.
Une très grande piscine chauffée à débordement vous procurera bien-être et repos.
Et nous avons également un court de tennis en Quick.
Le potager bio
Depuis 2018 nous avons crée un potager bio. Greg, notre jardinier épatant, travaille la terre et s’occupe du verger et du potager.
Une partie jde l'approvisionnement en légumes et fruits provient de notre potager.
En 2024, nous accueillerons des poules et deux cochons gasconnes qui nous aideront à mieux gérer nos déchets organiques.
Le potager bio
Depuis 2018 nous avons crée un potager bio. Greg, notre jardinier épatant, travaille la terre et s’occupe du verger et du potager.
Une partie d’approvisionnement en légumes et fruits provient de notre potager bio.
Le Château de la Treyne était un producteur auto-suffisant de son propre miel, contribuant notamment à soutenir les efforts de préservation des précieuses butineuses. Malheureusement, nos ruches ont été attaquées par des frelons asiatiques et n'ont pas survécu à cette attaque. Nous mettrons tout en œuvre pour faire revivre nos ruches.
Notre cuisine est directement inspirée des saisons et les aliments qui se retrouvent sur notre menu reflètent l’attention particulière donnée aux produits locaux.
L’expérience culinaire au Château de la Treyne débute donc par une harmonie avec la nature et un respect profond pour ce qu’elle est à même de nous pourvoir généreusement.
Notre Histoire
Philippe Gombert, ancien avocat du Barreau à Paris est depuis 2013 le président international de Relais & Châteaux. Il continue à gérer les travaux annuels de restauration du Château de la Treyne.
Stéphanie Gombert, son épouse, s’occupe de l’exploitation de l’entreprise. Le couple a trois enfants.
Date |
durant 1342 |
La construction du fort de la Treyne, attestée en 1342, est due vraisemblablement à Guillaume et Hughes de Roffilhac.
Cependant, si l’on considérait que la dévolution par les femmes devait être égale à celle des hommes, force serait de constater que la seigneurie de la Treyne ne cessait d’appartenir aux Cluzel. Il en serait de même en 1711, lorsque Marie de La Ramière apporta La Treyne à son époux Jean III de Cardaillac.
Pierre de La Ramière, époux de Galienne du Cluzel, seigneur de La Treyne, eut un rôle si important dans son parti et sa famille qu’il mérite un instant d’attention. Pierre, dit » Le Capitaine « , embrassa la religion protestante. On lui attribue la victoire de La Roche l’Abeille, en Haute-Vienne, le 25 juin 1569. Au cours de cette bataille, Henri de Navarre, âgé seulement de 16 ans, fit ses premières armes, en présence de sa mère, Jeanne d’Albret.
De cette époque, date l’amitié qui unissait le futur Roi de France à son compagnon d’armes, Pierre de La Ramière.(fac-similé de la lettre d’Henri IV à Pierre de La Ramière). Cependant, Henri de Navarre, entraînant la cavalerie avec ses mots fameux » Ralliez-vous à mon panache blanc, vous le trouverez toujours au chemin de l’honneur et de la victoire « , devait abjurer la religion protestante pour conquérir le pouvoir après avoir considéré que Paris valait bien une messe (1594).
Entre-temps, La Treyne, qui était un repaire de Huguenots, avait été, en 1586, la proie des flammes par ordre du Duc de Mayenne, Lieutenant du Roi Henri III.
Jean de La Ramière était décédé en 1616 et sa dépouille mortelle fut ensevelie de nuit et de force par ses fils dans l’église seigneuriale de Meyraguet malgré l’Ordonnance royale qui prescrivait que les corps des défunts ayant appartenu à la religion protestante réformée ne pourraient "être enterrés dans les cimetières catholiques ni dans les églises sous prétexte que les tombeaux de leurs pères y sont ou qu’ils ont quelques droits de seigneurie".
Une fois les guerres de religion achevées et la tranquillité revenue, les La Ramière remirent en état leur demeure de La Treyne.
La Maison de La Ramière, qui est classée parmi celles d’ancienne chevalerie, aurait conservé La Treyne, comme auparavant celle des Cluzel, si la dévolution de la seigneurie avait pu se faire par les femmes. Au milieu du XVIIIème siècle, le vicomte de Turenne perdit au jeu sa vicomté qui fut la dernière à être rattachée au Royaume de France.
La Treyne avait alors perdu beaucoup de son lustre d’antan. Heureusement, les propriétaires, qui allaient se succéder tout au long du XXème siècle, allaient déployer beaucoup d’énergie pour lui rendre l’aspect qui était le sien au temps du Roi-Soleil, le confort en plus.
Un entrepreneur de peinture n’avait pu oublier, à la fin de sa vie, l’impression qu’il avait ressentie en pénétrant, tout jeune apprenti, dans le Grand Salon dans lequel des artistes peintres s’affairaient à la décoration du magnifique plafond à caissons : "je croyais entrer dans une cathédrale au Moyen-Age tant la ferveur et la joie étaient grandes ; j’avais l’impression que tout le monde chantait…"
Date |
durant 1982 |
Depuis 1982, la famille Gombert, originaire de l’Aveyron, qui se considère comme simple dépositaire de cette belle demeure du Lot, œuvre avec passion pour la faire vivre par des manifestations culturelles ( expositions, concerts ) et la faire apprécier de ses hôtes.
Notre équipe
Nous sommes particulièrement heureux et fiers de présenter notre équipe, sans laquelle nous ne serions rien.